La force de cette manifestation est sa constance. Elle a 70 ans d’existence et surtout se déroule toujours au même endroit de puis des décennies.
Cette année, quelques photos sur les coulisses de la bourse
Les tables sont en places pour accueillir les nombreux Ă©leveurs amateurs avec leurs oiseaux Ă la vente
Les stands des professionnels sont en cours de montage
Les présentoirs sont loués par l’organisation aux éleveurs intéressés. L’unité de location est une hauteur de présentoir, soit 4 cages.
A première vu, le matériel est suffisant, mais ce n’est qu’une impression compte tenu du nombre de participants.
Samedi 22.11.2008, les portes sont ouvertes, les Ă©leveurs se pressent devant les cages
Quel contraste avec les premières photos du reportage. La place manque désormais
Il faut beaucoup de temps pour descendre les allées et observer les oiseaux. Bien souvent il ne faut pas hésiter longtemps, car dans les minutes qui suivent votre arrivée sur le stand, l’oiseau peut être acheté par un autre éleveur plus rapide. En fait la tactique est très simple : connaître les meilleurs stands et avoir une liste d’oiseaux à acheter.
Les chardonnerets sont toujours présents en quantités. Ici des agates jaunes « tête jaune ». Ce type de combinaison ne sera plus accepté en concours par la C.O.M. ce sont désormais des oiseaux de travail.
Un marché aux oiseaux gigantesque !
Les tables sont toutes utilisées.
Une des nouvelles attractions de la bourse. Une nouvelle mutation de chardonneret : le perlé. Vous remarquerez les tâches blanches sur les rémiges et les rectrices. Cette mutation est dominante autosomale. Fixée ici sur un sujet appelé « Eumo »
Cette mutation sera bientôt sans aucun doute, combinée avec toutes les mutations existantes
A gauche un agate perlĂ©, Ă droite un agate “eumo” perlĂ©. “L”eumos” est une appellation non reconnue Ă ce jour.
Cette nouvelle mutation est intéressante et spectaculaire. A suivre dans le futur !
Les stands des professionnels
Un couple de tarin triste (Carduelis tristis). Au deuxième plan, la femelle est malheureusement stressée. les photos ont été réalisées sans flash.
Remarquez le mâle Ă gauche. Il prĂ©sente un plumage intermĂ©diaire. Le tarin triste a deux phĂ©notypes : un l’hiver, et un l’Ă©tĂ©. Lorsque les oiseaux sont en pĂ©riode de reproduction, le mâle est Ă 80 % jaune. Seules la calotte et les rĂ©miges et rectrices sont noires. la femelle est plus verdâtre.
les tables sont utilisées
Une multitude de petits stands.
La salle est pourtant très grande
je ne connais qu’un endroit en France comparable Ă une moindre Ă©chelle, c’est Pontivy.